Vous, moi, et l’espoir

Aujourd’hui, je voudrais vous parler d’espoir…  

Venir à la Maison de Sens est une démarche portée par l’espoir.

Démarrer un coaching ou une thérapie repose aussi sur l’espoir, pas seulement sur le rejet de la douleur, de la peine, de la difficulté, mais aussi, même enfoui, même ténu, sur l’espoir d’entrevoir la lumière pour vivre des jours meilleurs.  

L’espoir vous fait prendre un téléphone et passer cet appel, sans certitude, mais avec le désir que quelque chose change en vous, pour vous.  

L’espoir vous amène ici, dans ce cabinet, dans cette Maison de Sens, en face de moi. 

C’est encore lui qui vous fait vous connecter sur Zoom, depuis la Bretagne, l’île de France, les Alpes et même le Québec. Au bureau, dans la chambre d’un enfant, depuis votre voiture, et même de votre maison de vacances, pour prolonger ce travail et avancer dans votre quête de sens.

J’y vois une beauté fabuleuse. J’y vois du courage. J’y décèle un élan encore vivant, malgré tout ce qui vous freine au quotidien ou le chagrin qui vous écrase.

Cette Maison repose sur l’espoir.

Cette aventure de la Maison de Sens commence avec une immense dose d’espoir (et probablement autant de courage).  En mai 2020, lorsque nous l’avons visitée pour la première fois, elle semblait hors de portée, trop grande, trop chère, « trop tout » pour nous. Et indépendamment du Covid, nous étions au creux d’une vague qui nous faisait boire la tasse depuis plusieurs mois.  Et pourtant, je vous écris d’ici, de cet endroit que certains parmi vous connaissent, que d’autres suivent sur les réseaux sociaux.  

Je vous écris d’ici parce que je me suis appuyée sur mon espoir pour bâtir un projet porteur de sens, un projet viable, répondant à des enjeux actuels d’équilibre et de santé mentale tout autant qu’à mon désir de partager ce lieu unique, qui permet d’aller à la rencontre de soi et de découvrir ses sources de sens.  

Les vôtres, tout autant que les miennes, car cette Maison agit sur toute personne qui y passe, y séjourne, ou y vit.  

Chaque jour, sans en avoir l’air, elle m’invite à me poser la question du sens.  

Ce que je vis, ma manière de réfléchir, d’agir, mes prises de décisions, ma quête d’équilibre, tout est fortement imprégné de ce besoin de sens. Et dans les moments de doutes, de difficultés, d’abattement (car oui, même les coach et thérapeutes en traversent), c’est le besoin de sens, chevillé au corps, entremêlé d’espoir, qui me permet de redresser la tête et de me projeter vers demain

En conclusion

Je voudrais aujourd’hui vous encourager à vous servir de l’espoir comme d’un tremplin, pour approfondir votre connaissance de vous-même, pour vous accrocher à la barre, pour redéfinir votre cap, pour remettre en question vos habitudes, accepter de perdre vos repères pour aller vers un futur qui vous ressemble, malgré l’inconfort du présent.  

L’espoir, dit le proverbe, fait vivre. Il fait avancer. Chérissons-le, protégeons-le, cultivons-le. 

Précédent
Précédent

Les chemins de traverse

Suivant
Suivant

S’effondrer, et s’éveiller à soi-même.